Fonction Publique
Composition du gouvernement
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046013941
FAQ : Temps partiel thérapeutique dans la FP
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046013941
FAQ : Temps partiel thérapeutique dans la FP
A retrouver sur le site du MENJ
https://www.education.gouv.fr/la-lettre-d-information-juridique-ndeg-220-mai-2022-341267
OBJET : Appel à candidature sur les postes de direction sous statut et hors statut d’emploi restés vacants à la rentrée scolaire 2022 au sein des établissements publics locaux d’enseignement et de formation professionnelle agricoles EPLEFPA à l’issue de la campagne annuelle de mobilité.
RESUME : La présente note de service ouvre la mobilité au fil de l’eau sur les emplois de directeur, de directeur adjoint d’établissement et de directeur de centres constitutifs, vacants à la rentrée scolaire 2022 en établissements publics locaux d’enseignement et de formation professionnelle agricole EPLEFPA ou en établissement public d’enseignement technique agricole (EPNA-EPEA).
DGER/SDEDC/2022-503 du 07-07-2022
Le dossier de candidature est constitué des pièces suivantes:
La date limite de candidature est le 21 juillet 2022.
Prise de fonction au 01/09/2022
https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/instruction-2022-503
Cette formation pour adultes sera en partie dispensée au lycée agricole d’Ahun, en partenariat avec le réseau d’expertise comptable Cerfrance.
Le Centre de formations pour adultes CFPPA de la Creuse vient de créer un nouveau Certificat de Spécialisation (CS) de « Technicien Conseil en Comptabilité et Gestion Agricole », en partenariat avec Cerfrance Centre Limousin (*). C’est le seul CS de ce type existant actuellement en Région Nouvelle Aquitaine.Conseiller les exploitants agricoles . L’objectif de ce parcours est de former au métier de la comptabilité, du conseil et de la gestion des entreprises et exploitations agricoles. Ce diplôme du ministère de l’Agriculture prépare à l’ensemble des missions comptables (saisie des opérations, enregistrement des écritures, détermination du résultat, déclarations fiscales et sociales), dans le but de conseiller les exploitants agricoles.Pour accéder à cette formation il faut être titulaire d’un diplôme de niveau 5 (bac +2, par exemple BTS compta-gestion ou BTS ACSE) ou avoir une expérience dans le domaine de la comptabilité. Les contrats d’alternance seront privilégiés dans des structures limousines, mais aussi sur un territoire plus large, un positionnement et un entretien avec l’entreprise confirmeront le recrutement. Début des cours le 12 septembre : Cerfrance est le partenaire privilégié du CFPPA de la Creuse. Le réseau d’expertise comptable assurera une partie de la formation et l’essentiel du recrutement. Dix à douze apprenants bénéficieront de cette formation de 560 heures, qui débutera le 12 septembre 2022 et se terminera le 19 juin 2023. Elle se déroulera au CFPPA de la Creuse (lycée agricole d’Ahun) et dans les structures de Cerfrance Centre Limousin. Le 15 juin les représentants de Cerfrance (Jean-Yves Debrosse, Guillaume Gayaud, Guillaume Luseau) et le CFPPA du lycée agricole (Jean-Luc Lainé, directeur par intérim) ont signé la convention de partenariat pour ce CS de « Technicien Conseil en Comptabilité et Gestion Agricole ».Ce nouveau Certificat de Spécialisation vient s’ajouter à ceux déjà proposés par le CFPPA :
« Conduite d’un élevage bovin viande »,
« Conduite d’un élevage porcin »,
« Conduite de la production de plantes aromatiques et médicinales »
« Restauration collective »
Membre de l’ordre des experts-comptables, le réseau Cerfrance accompagne des entreprises dans les domaines de l’expertise comptable, de la gestion, des ressources humaines et du conseil économique, fiscal, juridique, social et stratégique.
Renseignements. 05.55.81.48.90
https://www.lamontagne.fr/ahun-23150/actualites/un-nouveau-certificat-agricole_14155433/
Des ingénieurs de la chambre d’agriculture ont accueilli des étudiants du lycée agricole du Paraclet, pour leur présenter le réseau Dephy, qui vise à limiter les produits phytosanitaires, et une parcelle où sont testées de nouvelles cultures. Un champ de Woignarue s’est transformé en salle de cours pour une quinzaine d’étudiants du lycée agricole du Paraclet (Amiens), en première année de BTS Agronomie-productions végétales (APV). Ils ont été accueillis par deux salariés de la chambre d’agriculture de la Somme, venus leur présenter le réseau DEPHY, qui vise à limiter le recours aux produits…
Des élèves du lycée agricole d’Yvetot ont travaillé toute l’année sur la Shoah, le génocide perpétré par les Nazis à l’encontre du peuple juif avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Après un séjour berlinois marquant, ils ont enterré la semaine dernière une capsule temporelle, pour perpétuer cette mémoire. Mercredi 18 et jeudi 19 mai 2022, treize élèves du lycée agricole d’Auzebosc, engagés en première bac pro CGEH (conduite et gestion de l’entreprise hippique), s’envolaient pour Berlin, capitale de l’Allemagne, avec leurs enseignants d’histoire, Laurent Guerreau et de français, Mickaël Simon. Ils rejoignaient un groupe de 220 lycéens et apprentis normands issus de dix établissements scolaires qui participaient au voyage d’étude annuel organisé par la Région Normandie et piloté par le mémorial de la Shoah. Pour les enseignants, « l’objectif était de faire découvrir à nos jeunes l’horreur de l’antisémitisme et la folie des idéologies politiques poussées à leur extrême, au point de programmer quasi scientifiquement l’éradication d’une population. » Ce voyage a été ponctué de visites de nombreux lieux, parmi lesquels le camp de concentration de Sachsenhausen, près de Berlin. C’est la visite du quartier juif qui a touché Justine. « Ça m’a remuée de me promener dans le quartier juif et son cimetière », dit-elle. Sa camarade de classe Tifenne, elle, se rappelle précisément du quai 17 de la gare de Grunewald, dernière station avant la mort pour de nombreux juifs allemands. « C’est bizarre, il n’y avait rien à voir que des rails envahis par les herbes, mais de savoir que c’est de là que les juifs allemands quittaient Berlin pour les chambres à gaz d’Auschwitz, c’était particulièrement poignant .
De retour de Berlin, la classe était réunie ce jeudi 30 juin, pour clore ce projet pédagogique qui aura été le fil rouge de leur année.
Des Justes et un rendez-vous, dans la boîte hermétique, une clé USB, des carnets de voyage, des photos argentiques plastifiées, mais aussi, en témoignage de cette année 2022, des articles de presse sur la guerre en Ukraine, la montée de l’inflation… et un test Covid ont été déposés. Une capsule temporelle que Léna a été chargée d’enterrer à destination des générations futures. Pas n’importe où dans le campus, au pied d’une installation de métal fabriquée par des élèves de terminale pour rendre hommage aux Justes parmi les nations, ces personnes ayant pris tous les risques pour sauver des Juifs des exactions nazies. Au lycée agricole, la famille Waltispurger fut l’une d’elles, qui cacha une petite fille juive de 1942 à la Libération au nez et à la barbe des occupants allemands (le campus était depuis 1940 devenu un hôpital militaire allemand).
Les élèves présents se sont donné rendez-vous dans dix ans pour présenter le contenu de cette capsule à leurs successeurs. Les voilà devenus passeurs de mémoire, rôle que les jeunes générations devront assumer quand les derniers témoins directs ne seront plus.
Soucieuse d’améliorer les conditions de travail de ses agents, la Région a entrepris de rénover les anciens ateliers, devenus vétustes, du lycée agricole, avec pour enjeu d’offrir un espace de travail lumineux et adapté aux treize agents techniques, en améliorant la sécurité et le confort.
Mercredi 29 juin, Loïc Hénaff, conseiller régional et président du conseil d’administration de l’établissement, a visité ces nouveaux locaux, accompagné des agents et de Marie-Pierre Gousset, directrice du lycée agricole.
La rénovation complète des ateliers des agents de maintenance du patrimoine (AMP), d’un coût de 480 000 €, confiée à la Sembreizh, traitée par le cabinet d’architecte Atelier Trois Architectes de Carhaix et réalisée par quatorze entreprises, a débuté par la rénovation de l’enveloppe extérieure des anciens ateliers (toiture et bardage en bois) et la pose de nouvelles menuiseries. S’en est suivi l’aménagement intérieur du local de 440 m² avec la création d’un atelier divisé en cinq zones (menuiserie, peinture, électricité, plomberie, soudure) et de deux bureaux.
Les élèves de 4e Segpa (Section d’enseignement général et professionnel adapté) du collège Marcel-Pierrel ont été reçus lundi 13 juin, au CFPPA (Centre de formation professionnelle et de promotion agricole) de Marvejols, par Stéphanie Dabet Michel, qui est en charge du développement de l’apprentissage. Diverses informations leur ont été données sur le fonctionnement de l’apprentissage et le témoignage de quatre jeunes apprentis a particulièrement retenu leur attention, notamment les raisons qui les ont motivés à s’inscrire au CFPPA se former tout en travaillant. Le rythme de la formation en alternance, pour un CAP, est de douze semaines en CFA trente-cinq semaines en entreprise et cinq semaines de congés payés, sur une durée de deux ans de formation. Ils ont droit à la même couverture sociale que les autres salariés. Les apprentis ont répondu aux questions des élèves et ont bien expliqué les différentes activités réalisées en fonction du secteur choisi, aussi bien pour l’élevage ovin ou bovin, que pour le CAP jardinier paysagiste. Cette sortie pédagogique est un élément supplémentaire permettant de répondre aux interrogations des élèves quant à leur choix d’orientation et vient compléter les visites de lycées, d’entreprises et les stages effectués en milieu professionnel.
https://www.midilibre.fr/2022/07/03/les-collegiens-visitent-le-centre-de-formation-10412050.php
Journée au bord de l’eau pour les élèves de CM2 de l’école Sainte-Thérèse l’objectif était simple, aborder les rudiments de la pêche grâce aux conseils des stagiaires guides de pêche du CFPPA de Bonnefont, pilotés par Roland Tomkiewicz. Goujons, chevesnes, ablettes, spirlins, gardons et même un petit brochet ont rejoint la bourriche. Reste à espérer que le goût pour la pêche et le bord de l’eau perdurent. L’opération a été rendue possible grâce à la participation de l’AAPPPMA de Brioude et la Fédération de pêche de la Haute-Loire qui ont offert les permis de pêche.
https://www.lamontagne.fr/brioude-43100/actualites/petits-pecheurs-deviendront-grands_14156015/
Ce vendredi 2 juillet, dans les salons de la préfecture, Xavier Brunetière, préfet du Gers, a récompensé les lauréats du concours sur la sensibilisation à la sécurité routière et à l’accidentologie, ouvert à tous les collégiens et lycéens du département. Au total, plus 70 collégiens et lycéens gersois y ont participé. Le jury composé d’agents de sécurité, de forces de l’ordre, de politiques et d’associations a étudié les 55 affiches en compétition. Ils en ont retenu deux dans chaque catégorie. Ces dernières seront affichées durant tout l’été dans le département. Pour toucher un public plus large, la préfecture a transformé ces affiches en cartes postales.
Lucien Malek, élève de 3ème au collège Saint-Joseph de Lectoure, est « fier d’avoir participé à ce projet ». Il a remporté le 1er prix des collégiens et son affiche a été sélectionnée par le jury pour être proposé au niveau national. Passé par l’image pour interpeller sur la question de la sécurité routière lui semble important car « une affiche se comprend plus facilement que des chiffres ». Ce même constat est partagé par Valérie Herrero, professeure de lettres au lycée agricole de Baulieu. Cette dernière a accompagné les deux groupes de lycéens lauréats. « La diversité des regards et la qualité des productions sont une belle réussite », souligne-t-elle.
Dans son discours de félicitations, le préfet a remercié tous les participants, élèves comme enseignants, et les a appelé à réfléchir à d’autres moyens de sensibilisation pour les prochains concours, tels que du contenu sur les réseaux sociaux. Une décision qui permettra de faire de la sensibilisation « par les jeunes et pour les jeunes ».
https://www.ladepeche.fr/2022/07/06/securite-routiere-collegiens-et-lyceens-recompenses-10418405.php
Jeudi 23 juin, le maire Francis Laborie, Michel Bouchara et Marcel Piotte accueillaient Marie Edith Castex, professeur d’économie, Katia Perie, professeur de biologie, économie et leurs élèves en classe de 2de GT du lycée agricole La Vinadie à Figeac. Cette visite était organisée dans le cadre de la semaine banalisée EATDD : écologie, agronomie, territoire, développement durable. Cette option est spécifique à l’enseignement agricole sur la thématique de l’arbre et la forêt.
Francis Laborie a présenté la commune nouvelle aux élèves et la place de la forêt dans le département, ses enjeux économiques, touristiques et environnementaux. Michel Bouchara, en guide hors pair, leur a fait découvrir l’arboretum et a répondu aux nombreuses questions des lycéens curieux et attentifs, étonnés par les 110 essences d’arbres provenant du monde entier dont une large collection de chênes dont le nom latin (quercus) a donné son nom à la région du Quercy. Il leur a expliqué comment utiliser l’application Smartphone « ONF Découvertes » qui permet de se promener en se laissant guider par Elodie sur l’un des quatre parcours thématiques ou bien localiser un arbre en particulier.
Marcel Piotte a fait l’historique de la forêt communale, depuis la donation du Duc de Luynes à la plantation des premiers arbres en 1954. Les lycéens avaient du mal à s’imaginer que ce vaste territoire n’était qu’une lande où ne poussaient que fougères et bruyères. Cette lande, qui a été un haut lieu de la résistance avec la présence de nombreux maquisards et les très importants parachutages en matériel de guerre.
À midi, les lycéens ont pique-niqué dans le cadre ombragé de l’étang de pêche
https://www.ladepeche.fr/2022/07/03/les-lyceens-a-la-decouverte-de-la-foret-10412484.php
Trois classes du lycée agricole Vaimoana ont effectué une excursion à la pinède de Loka dans le Nord de Wallis. L’objectif, découvrir les métiers de la forêt.
A l’occasion de la semaine Education à la Santé et au Développement Durable, la direction des services de l’agriculture s’est chargée de faire découvrir les métiers de la forêt à trois classes du lycée agricole de Lavegahau à la pinède de Loka. Excursion sur le terrain pour susciter des vocations tout en sensibilisant les jeunes à la nature.
Après une participation d’élèves en bac STAV, accompagnés du directeur, d’une professeure et d’une formatrice, à un séminaire au Cameroun, du 15 au 25 avril, une restitution a été réalisée récemment auprès de l’ensemble des personnels de l’Agricampus, afin de les associer à la suite du projet.
C’est au terme d’un périple de 10 000 km aller puis retour, que les Voyageurs de La Roque sont revenus « plein d’usage et raison » avec chevillé au corps le beau projet de se jumeler avec le lycée de Dibombari au Cameroun. D’où vient ce projet ? : Le bel exemple du lycée agricole Nantes Atlantique : le voyage a commencé par Ebolowa au sud de Yaoundé. Là-bas les producteurs de cacao transforment eux-mêmes leur production et commercialisent leur chocolat « Keka Wongan ». Cette autonomie a été coconstruite avec le lycée Nantais. En 5 ans de jumelage, de multiples projets ont germé tel le centre 3CF situé à Yaoundé, véritable incubateur de projets de formations, collaborations, entre étudiants, élèves, formateurs français et camerounais.
Une volonté des ministères : Cette belle expérience a abouti par la volonté de Florent Dionizi et Pierre Mbida a un accord-cadre entre les ministères de l’agriculture français et camerounais. C’est maintenant une volonté des gouvernements : il va falloir coopérer et construire des projets pour répondre aux défis de l’agriculture de demain autour de l’agroécologie. Pour cela il est important de jumeler des établissements : Cinq établissements ont répondu à l’appel et ont été retenus pour le projet : Nantes, Pontivy, Castelnaudary, Brive et Rodez-Onet. Tous ont construit des projets de jumelage avec des établissements agricoles camerounais sur des problématiques très spécifiques.
Après 9 heures de route dans les montagnes majestueuses du Cameroun, les cinq Aveyronnais accompagnés du Directeur de Dibombari Jacques Mbocko ont atteint leur objectif : Dibombari au nord de Douala, la capitale économique du Cameroun tout près de la côte.
Pourquoi le lycée de Dibombari ? : C’est un établissement agricole très important pour le territoire, car il forme les agriculteurs à diverses productions : élevage de Poulets, poisson, porc, production maraîchère, plants de banane plantin et surtout production de fruits avec la star locale : l’ananas.
Notre point commun : l’agroalimentaire : Nous avons travaillé aux formations communes dispensées en agroalimentaire et en commercialisation des produits et avons défini pour l’instant une « feuille de route » afin de signer notre lettre d’intention qui organisera les termes de notre partenariat. En premier la formation : pilier de tout le projet car ici et là-bas c’est un incontournable de toute politique agricole. En deuxième, la transformation agroalimentaire, car elle est un enjeu majeur en Afrique ou comme en France on travaille à la souveraineté alimentaire ! À terme l’objectif c’est l’installation d’un atelier de transformation pédagogique au lycée de Dibombari pour valoriser les fruits et légumes. Et en troisième la commercialisation, car dans cette démarche, il faut que l’agriculteur gagne sa vie et puisse voir l’avenir en vert ! Si loin, si proches… Tout cela ne se fera pas en un jour, mais la dynamique est là ! Les étudiants de Dibombari et de Rodez-Onet sont dans les starting-blocks. Déjà deux élèves partent en stage cet été à Yaoundé et rêvent d’ailleurs… Pour tous c’est une chance, la chance de participer à de beaux projets, de s’ouvrir au monde et de relever de nombreux défis.
Prochain épisode : Ce sera en octobre, avec la venue de l’équipe pédagogique camerounaise dans le territoire aveyronnais. « Nous ne manquerons pas de faire appel aux professionnels et acteurs institutionnels pour organiser ce rendez-vous et nous vous donnerons des nouvelles ! », a conclu le directeur, Thierry Force.
Une première promotion d’élèves vient de passer le Brevet d’initiation à la mer à Boulogne. Promis à un bel avenir, ce petit cursus diplômant attire d’ores et déjà 130 jeunes pour l’an prochain. Ils seront coachés par le Campus des métiers et des qualifications
Le BIMer, un nouveau diplôme : Ils ne sont pas beaucoup cette année, 2 filles et 7 garçons, à avoir suivi les cours pendant quelques mois pour passer le BIMer, le brevet d’initiation à la mer, mais c’était la première promo. Amandine Dubois (chargée du projet BIMer pour les Hauts-de-France) nous répond : « Le BIMer est un diplôme Éducation Nationale de découverte de la culture maritime et des métiers de la mer. Les élèves ont bénéficié de cours théoriques mais aussi de moments pratiques avec des sorties sen mer et des rencontres avec des professionnels. » Les élèves (des collégiens de 3e) ont suivi en tout 40 heures de formation.
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